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POUR QUI ?

Beaucoup d’entre vous se demandent comment choisir un psychologue. Le lieu, la photo, l’accessibilité, l’outil thérapeutique, le hasard d’un clic… Internet apporte des informations, mais souvent on a besoin de plus : on veut savoir à qui on s’adresse, qui on va rencontrer.

Pour moi, il est essentiel que le thérapeute, tout comme la personne qu’il accompagne, ait été traversé par la vie. C’est en ayant connu des épreuves que l’on apprend à accueillir celles des autres, avec authenticité et justesse. C’est aussi ce qui permet à l’alliance thérapeutique — ce lien de confiance essentiel — de s’installer.

Au fil de mon parcours, j’ai affiné mon approche et développé des outils comme les constellations familiales, les points de guérison, l’EMDR ou la thérapie de l’enfant intérieur. Ces pratiques se révèlent souvent éclairantes et transformatrices pour les personnes que j’accompagne.

Nous vivons dans une société où le « Il faut » et le « Tu dois » nous enferment dans l’idée de ne jamais être assez. J’en ai moi-même souffert. Le travail thérapeutique nous aide à rencontrer notre nature profonde, à nous libérer des croyances limitantes et à oser être pleinement nous-mêmes.

Pourquoi consulter un psychologue ?

Beaucoup hésitent à franchir le pas, freinés par des idées reçues :

  • « Les psys, c’est pour les fous »

  • « Je vais mal, mais ça passera, je suis fort(e) »

  • « J’ai mes amis, je n’ai pas besoin d’un psy »

  • « Ce serait un aveu de faiblesse »

  • « Ça prend trop de temps »

Ces pensées sont compréhensibles, mais elles ne reflètent pas la réalité. Consulter un psychologue, c’est avant tout s’offrir un espace pour soi, un lieu sécurisant où déposer sa parole, ses doutes, ses douleurs, mais aussi ses envies d’évolution.

Parmi les raisons de commencer un suivi psychologique, on retrouve :

  • des décisions difficiles à prendre,

  • des conflits familiaux ou parentaux,

  • des difficultés de couple (séparation, communication, tensions),

  • la gestion du haut potentiel,

  • la dépression, l’anxiété, le burn-out,

  • les phobies ou le stress,

  • les difficultés relationnelles ou professionnelles,

  • les questionnements existentiels.

Il n’existe pas de raison plus valable qu’une autre. Ce qui compte, c’est ce qui vous touche aujourd’hui. Vous seul(e) savez quand il est juste pour vous de demander de l’aide. La thérapie n’est pas réservée à quelques-uns : elle est pour tous, du moment qu’il y a un désir d’avancer.

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